Film coréen de Lee Jun-Ik
Une fresque historique chamarrée et brillante.
Nous sommes au début du XVIe siècle, un roi fou, Shakespearien, Yeon-San, règne sur le pays. Le film raconte l'arrivée, à sa Cour, d'une troupe de saltimbanques, ainsi que les troubles et les drames causés par leur présence et leurs représentations. Dans ce milieu figé par un protocole lourd et contraignant, le théâtre devient le catalyseur et le révélateur des émotions, des tensions et des non-dits.
À travers un récit bien mené, à la fois passionnant, drôle, émouvant, et tragique, on découvre un peu de l'histoire de la Corée, l'étiquette de la Cour, les coutumes et les arts traditionnels. C'est à la fois une réflexion sur le pouvoir, sur la folie et sur l'art et l'artiste.
C'est superbe et les comédiens sont époustouflants.
Lors de sa sortie, le film a fait douze millions d'entrées en Corée. En France, il a reçu le Prix du Jury au Festival du Cinéma Asiatique de Deauville. Tout cela parfaitement mérité.
À travers un récit bien mené, à la fois passionnant, drôle, émouvant, et tragique, on découvre un peu de l'histoire de la Corée, l'étiquette de la Cour, les coutumes et les arts traditionnels. C'est à la fois une réflexion sur le pouvoir, sur la folie et sur l'art et l'artiste.
C'est superbe et les comédiens sont époustouflants.
Lors de sa sortie, le film a fait douze millions d'entrées en Corée. En France, il a reçu le Prix du Jury au Festival du Cinéma Asiatique de Deauville. Tout cela parfaitement mérité.
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